GAFAM Désintox : les salles pour se shooter au LIBRE !

Les « salles de shoot au Libre », les GAFAM Désintox, se multiplient comme des petits pains chauds partout en France et dans le monde.

Elles permettent au plus grand nombre de lutter efficacement contre les effets néfastes des produits et substances toxiques que sont les logiciels et services propriétaires et privateurs de liberté que l’infâme secte technologique GAFAM nous injecte au quotidien à l’insu de notre plein gré.

GAFAManie

La GAFAManie désigne une dépendance physique et psychologique à une ou plusieurs substances logicielles exogènes, toujours toxiques (analgésique, stimulants et autres psychotropes) et sans justification thérapeutique. Il est actuellement question d’addictions au pluriel car les pratiques de consommation ont évolué du côté des polyGAFAManies (ordinateur, tablette, téléphone portable, console de jeux, TV, etc.). Les usages évoluent vers un besoin incontrôlable de continuer à consommer le produit-service GAFAM, accompagné d’accoutumance puis de dépendance.

Selon l’Organisation mondiale de la démocratie (OMD), la définition stricte de la GAFAManie correspond à quatre éléments :
– une envie irrépressible de consommer le produit-service ;
– une tendance à augmenter les doses ;
– une dépendance psychologique et parfois physique ; et
– des conséquences néfastes sur la vie quotidienne (émotives, sociales, économiques, démocratiques).

Par exemple, la googleïne est l’une des substances les plus addictives dans le domaine de la GAFAManie. C’est un alcaloïde tropanique extrait de la feuille de google. Psychotrope, elle est un puissant stimulant du système nerveux central, et sa consommation, même à petite dose, est addictive.

Salle de shoot au LIBRE – GAFAM Désintox

Une salle de consommation à moindre risque (SCMR), communément appelée « salle de shoot au Libre », est un lieu convivial où les consommateurs abusifs de produits et services toxiques (Windows, MacOS, Chrome OS, Android, iOS, Facebook, WhatsApp, Google Search, Google Apps, Chrome, Edge, Safari, YouTube, Office, Skype, etc.) peuvent facilement se désintoxiquer en toute sécurité dans d’excellentes conditions sanitaires et d’hygiène mentale avec l’aide d’un personnel bénévole, formé et hautement qualifié. Il est aussi possible d’y échanger des astuces et des bons plans. De plus, des solutions alternatives libres sont fournies gratuitement aux utilisateurs en situation de dépendance vis-à-vis de la secte GAFAM.

Pour vous désintoxiquer des GAFAM :
Salles de shoot sécurisées au Libre

GAFAM Désintox : Les alternatives pour se passer des BIG BROTHERS Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft et Consorts

GAFAM Désintox : Les alternatives pour se passer des BIG BROTHERS Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft et Consorts

Solutions 🙂 LIBRES : seules  alternatives à celles privatrices de la Secte 👿 GAFAM (GAFAManie)

Surveillance globale (Wikipédia)

La « surveillance » globale (surveillance et espionnage de masse) fait référence à la mise en place d’une surveillance mondialisée sur des populations entières, par-delà les frontières nationales.
Ses racines historiques remontent au milieu du XXème siècle, notamment après l’adoption conjointe par les États-Unis et le Royaume-Uni de l’accord secret UKUSA, qui a abouti à la mise en place d’un premier réseau de surveillance mondial connu sous le nom de code « Echelon ».
L’existence de cette surveillance globale, cependant, n’a été largement reconnue qu’après la couverture médiatique des RÉVÉLATIONS (2013-2016) d’Edward Snowden, qui ont déclenché un débat politique mondial en 2013 sur le droit à la vie privée à l’ère du numérique…

Quel niveau de surveillance la démocratie peut-elle endurer ? par Richard Stallman (initiateur du mouvement du logiciel libre)

Grâce aux RÉVÉLATIONS (2013-2016) d’Edward Snowden, nous comprenons aujourd’hui que le niveau de surveillance dans nos sociétés est incompatible avec les droits de l’homme.
Le harcèlement répété et les poursuites judiciaires que subissent les opposants, les sources et les journalistes (aux États-Unis et ailleurs) en sont la preuve. Nous devons réduire le niveau de surveillance, mais jusqu’où ? Où se situe exactement le seuil tolérable de surveillance que l’on doit faire en sorte de ne pas dépasser ? C’est le niveau au delà duquel la surveillance commence à interférer avec le fonctionnement de la démocratie : lorsque des lanceurs d’alerte comme Snowden sont susceptibles d’être arrêtés…

Dégooglisons Internet

Quels sont les enjeux ?

Les services en ligne toujours plus centralisés de géants tentaculaires comme Google, Apple, Facebook, Amazon ou Microsoft (GAFAM) mettent en danger nos vies numériques.
Ces dernières années ont vu se généraliser une concentration des acteurs d’Internet (par exemple, Youtube et Gmail appartiennent à Google (Alphabet), Instagram et WhatsApp à Facebook, Skype et LinkedIn à Microsoft, etc.). Cette centralisation est nuisible, non seulement parce qu’elle freine l’innovation, mais surtout parce qu’elle entraîne une perte de liberté pour les visiteurs.
Les utilisateurs de ces derniers services ne contrôlent plus leur vie numérique : leurs comportements sont disséqués en permanence afin de mieux être ciblés par la publicité, et leurs données – pourtant privées (sites visités, mails échangés, vidéos regardées, etc.) – peuvent être analysées par des services gouvernementaux et sont vendus aux plus offrants.

La réponse que souhaite apporter Framasoft à cette problématique est simple : mettre en valeur, pour chacun de ces services privateurs de liberté, une alternative Libre, Éthique, Décentralisée et Solidaire.

Dégooglisons Internet : Les services en ligne toujours plus centralisés de géants tentaculaires comme Google, Amazon, Facebook, Apple ou Microsoft (GAFAM) mettent en danger nos vies numériques.

Dégooglisons Internet : Les services en ligne toujours plus centralisés de géants tentaculaires comme Google, Amazon, Facebook, Apple ou Microsoft (GAFAM) mettent en danger nos vies numériques.

Village libriste

Au milieu des multinationales tentaculaires, quelques organisations non-lucratives continuent de lutter activement pour un Web ouvert et respectueux des internautes. En plus de Framasoft, association loi 1901 qui mène la présente campagne, nous pouvons citer l’April, la Quadrature du Net ou encore l’Aful. Ces associations vivent de vos dons, n’oubliez pas de les soutenir !

La presse spécialisée et généraliste se fait l’écho de ces actions « GAFAM Désintox »